concept, performance Eleanor BAUER costumes Ada RAJSZYS musique Jean SIBELIUS - Swan of Tuonela

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Avec la mélancolie inhérente à ce qui est en voie d’extinction – une espèce menacée, une danse qui disparaît – Eleanor Bauer invite le spectateur à un safari dans les profondeurs du monde superficiel de l’interprète. Explorant tous les replis, toutes les facettes et possibilités de transformation d’un grand costume d’ours polaire, Bauer présente une série de métamorphoses complètes qui révèlent, assombrissent et déforment ses diverses capacités d’interprète.

Cette soirée Parallèle //04 est une coproduction KOMM'N'ACT / Théâtre Joliette-Minoterie.

production Caravan Production pour GoodMove (Bruxelles) coproduction WorkSpace Brussels // Kunstencentrum Vooruit (Départs) (Belgique) avec le soutien de Départs/Commission européenne (programme culture) soutien Commission Communautaire flamande de la Région de Bruxelles-Capitale remerciements Lucy GRAUMAN, Jean-Marie MARTZ

" [...] son questionnement ambitieux et généreux [...] nous pousse à faire des choses et à les présenter aux autres. [...] Mlle Bauer est polymorphe, protégeant ses plaisirs désespérés comme si sa vie en dépendait, remportant notre adhésion chemin faisant.[...] " Claudia LA ROCCO - New York Times.

" Un ours polaire qui danse comme un cygne " Gia KOURLAS - Time Out New York.

" Ça brille et retient notre regard l'espace d'un instant. [...] Bauer, danseuse et chorégraphe accomplie, [...] Explosion soigneusement calibrée de grandeur, le solo de Bauer est une étude des forces opposées en collaboration. Un pas lourd et maladroit côtoie une douce précision ; l'insécurité et le besoin d'attention coexistent ; la grandeur et la petitesse, l'intensité sonore et le silence, se diffusent à travers cette oeuvre fascinante. [...] Nous observons le pas lourd d'un ours polaire devenir gracieux et léger et, en même temps, cela reflète la lutte de chaque créature qui demande à remplir un espace vide avec ce qu'il a créé." R. Eric THOMAS - thinkingdance.net - 31 janvier 2012.

" […] une performance des plus saisissantes pour notre plus grand plaisir [...] tragique et triomphale, agressive et timide. [...] par son monologue brillant sur la futilité de, comment dire, toute sa carrière de performeuse." Siobhan BURKE - The Brooklyn Rail - Janvier 2012.